dimanche 4 juin 2017

Match du 27 mai 2017

Match capital contre le cancre du championnat en vue du maintien... Match piège par excellence, car la pression est évidemment sur les épaules des locaux, supérieurs sur le papier. Mais les expériences du premier tour (difficiles et courtes victoires 2-1 contre les futurs relégués Muri-Gümligen et Chiesnau) ont servies de leçons et c'est donc une équipe locale avertie qui lançait le match...



Le FC Courroux a entamé le match pied au plancher en se montrant agressif sur les duels, très compact et discipliné. Echappé à la 6ème minute, M. Charmillot se retrouva en duel face au gardien, mais sans trouver la faille... 3 minutes plus tard, c'est Ooko qui se retrouva dans la même position, mais il tenta la passe... qui ne trouva qu'un défenseur revenu en catastrophe! La pression des locaux était insoutenable et les visiteurs jouaient le hors-jeu de façon approximative. C'est fort joliment que Guélat se retrouva à la réception d'un centre tendu de M. Charmillot pour conclure avec assurance d'un plat du pied (13', 1-0 imparable). A la 23ème, face à un FC Courroux bien organisé à mi-terrain et quadrillant bien sa zone, un défenseur de Grauholz manquait sa relance... Guélat récupérait dans l'axe et ne se faisait pas prier (2-0) ! Le FC Courroux ne lâchait rien et c'est dans ce bon état d'esprit qu'à la 36ème, sur une ouverture royale (précise et dosée) de Ooko que Guélat se trouva en position favorable dans l'axe du but, le défenseur arriva en retard: pénalty transformé par Guélat lui-même (36ème).

En deuxième mi-temps, le public enchanté du spectacle et du score au tableau d'affichage aura droit à un festival... d'actions manquées malheureusement (lire par ailleurs). Seul Alves, sur un corner direct, trouvera à nouveau la faille (80ème, 4-0). Une ombre viendra toutefois ternir le tableau de ce bel après-midi, le claquage du héros du jour (Guélat) à la 70ème (saison finie).

La victoire était indispensable...

Festival des 1:1 seuls face au gardien et manqués!

1. 6': M. Charmillot.
2. 9': Ooko.
3. 30': Alves, puis Guélat.
4. 42': Guélat.
5. 50': Ooko.
6. 57': Alves.
7. 63': Guélat, suite à une percée de Wenger (le une-deux était une meilleure solution).
8. 68': M. Charmillot (qui trouvait la latte)...
Bref, le score aurait pu ("aurait dû") être plus conséquent...

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